Bonjour à tous,

C'est avec une profonde tristesse que nous avons appris le décès de Philippe BARRIER.

Philippe vivait dans la plus ancienne gendarmerie de Lauzès.
Il y avait créé un lieu chaleureux où il aimait accueillir sa famille et ses amis pour discuter, boire un verre, partager un bon moment.
Sa joie de vivre, son humeur, sa bienveillance et sa tendre délicatesse faisait de lui la personne qu'on aimait croiser dans sa vie.
Généreux, il pouvait offrir son aide à ceux qu'il appréciait ; à la MARPA, à la bibliothèque ou à domicile, il savait se rendre utile et faire plaisir.
Philippe était un puits de connaissances sur la commune de Lauzès avec documents, cartes postales à l'appui, en histoire de France, du vin et même du whiskey.
Aujourd'hui je pense à ses enfants, à son frère, à sa maman. Aujourd'hui je pense à Monique. Aujourd'hui je pense à ses amis : Jeannot, Philippe, Emilie, Christian, Annie, Gérard, Simone, Henri, Hervé, Chantal, Catherine, Anne-Marie, Claude, Odile, Georges, Nadine, Choni, Hugues ... et les autres ... la bande est bien triste sans lui. Philippe savait fédérer, cultiver l'amitié, être proche sans en avoir l'air. 
Philippe avait une grande place dans ce coin du village, dans nos cœurs et il nous manquera beaucoup. Merci Philippe pour tout ce que tu as fait. Bravo pour ton courage et ton optimisme face à la maladie.
Merci pour ce que tu nous a donné à tous. Nous ne t'oublierons pas.

Nous savons que les obsèques auront lieu jeudi à Prayssac.

Mme CASAGRANDE Véronique

Au revoir Philippe, on te croyait éternel, quelle tristesse.

Tu avais encore tant de livres au programme de tes lectures. Ta générosité, ton sens du partage, ton écoute, ta douceur, ton érudition, ton accueil, ta porte toujours ouverte (tu aurais sans doute répondu avec le sourire qui ne te quittait jamais : "oh là ! elle ne ferme plus depuis longtemps !") nous manquera. Lauzès perd un grand épicurien et le beaujolais nouveau son plus grand ambassadeur dans le Lot.

Nous souhaitons beaucoup de courage à ta famille.

Tes innombrables amies, amis, admiratrices, admirateurs, le bistrot, la bibliauzès  pleurent en pensant aux bonheurs que tu leur as apporté sans jamais te plaindre.